Les futurs enseignants québécois sont très peu formés à débusquer des éléments comme les fausses nouvelles et les théories du complot, ce qui ne les empêche pas d’avoir une pensée critique plutôt développée par rapport à leurs collègues belges et français, a découvert un chercheur en éducation de l’Université de Montréal. Il y a néanmoins urgence à aider les enseignants de la province, dit-il.
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